« Une chorégraphie sensuelle et aérienne évoquant la montée du désir »
Thomas Jolly, directeur artistique de la cérémonie d'ouverture des JO Paris 2024
Une fête païenne n'implique pas forcément la débauche et la subversion. C'est pourtant ce mix qui a été imposé aux spectateurs du monde entier lors de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024 qui aurait pu n'être qu'éblouissante. Certes, elle l'a été, il serait de mauvaise fois de ne pas le reconnaître, et on retiendra d'excellents passages, par exemple le défilé des athlètes enthousiastes sur l'eau y compris Israéliens et Palestiniens chers à mon cœur, la transmission de la flamme olympique à un ex-athlète handicapé, le cheval au galop sur l'eau (hélas, la créatrice du costume est une déesse du genderless et du queer), la prestation de Céline Dion, les somptueux jeux de lumière de la Tour Eiffel, les couleurs nationales explosant en fumigènes sur un pont, etc.
Mais, hélas, elle restera dans les annales, par certains de ses contenus, comme le symbole à la fois de la décadence liée à la déchristianisation occidentale et de la mise en exergue de la minorité LGBTQ++++++etc. (quelle initiale rajoutera-t-on bientôt ?), qui, sous couvert d'inclusion, a été portée au pinacle comme étant la nouvelle "norme" mondiale que l'on veut nous forcer à accepter. C'est bien ce mot, "forcer" qui me fait grincer des dents.
Si lors de cette cérémonie d'ouverture, d'aucuns pourraient avoir été trompés par l'avalanche stroboscopique de lumières, sons, scènes, thèmes, conférant à l'ensemble un aspect magnificent, comme le disent les Anglais, le diable, lui, s'est caché dans les détails… et pas que.
En effet, avait-on besoin que la Garde Républicaine se trémousse sur les airs chantés par Aya Nakamura (ça, une star ?) ? De revisiter l'Histoire pour que chante une Marie-Antoinette décapitée, que jaillissent des jets de sang de la Conciergerie ? Le tout sur un métal anachronique que le Hellfest ne récuserait pas. Lully, vous connaissez ?
Un taureau doré, sur l'estrade bleue des personnalités, ressemblait au veau d'or fabriqué, puis adoré, par les hébreux (parce que Moïse tardait à redescendre du Sinaï, sa conversation avec Dieu s'éternisant ; Moïse, voyant le veau d'or, en cassera les Tables de la Loi données par Dieu, de colère et d'écœurement).
Le monde entier a vu ce taureau/veau d'or à la place d'honneur. Mais quelle honte !
L'abomination a été atteinte au moment du tableau "Festivité".
Premièrement, c'était une parodie de la Sainte Cène du Christ.
Deuxièmement, elle était entièrement vouée aux LGBTQ+.
Troisièmement avec Jésus représenté par
une femme ;
de forte corpulence – ç'aurait pu être une excellente idée dans un autre contexte – ;
"couronnée" d'une sorte de diadème faisant immanquablement penser à un demi-ostensoir ;
assise au milieu de disciples et apôtres drag queens, trans et consorts.
Tous se mettant ensuite debout pour regarder défiler, sur la table devenue podium/catwalk, des mannequins (dont on se demande pourquoi la moue méprisante et la "marche" prétentieuse un pied devant l'autre sont si en vogue dans le milieu de la mode) vêtus pour la plupart de falbalas douteux.
Le clou de cette abomination s'est matérialisé par un homme vêtu de peinture bleue et de quelques faux fruits, se vantant en chantant d'être nu…
Était-ce la Cène ?
Samedi 27 juillet 2024, France Télévision reconnaissait du bout des lèvres que le tableau "Festivité" s'inspirait de la Cène. Le CIO des JO de Paris expliquait, dimanche 28, qu’il n’y avait eu « aucune intention de manquer de respect à un groupe religieux ». De qui se moque-t-on ? Les responsables du Comité Olympique français savaient ce qu'ils faisaient et le risque qu'ils prenaient lorsqu'ils ont confié la direction artistique à Thomas Jolly, notoirement homo, qui n'a pas manqué cette occasion de mettre en scène la vision du monde inclusif de sa "caste".
Ce dernier démentait le même jour : « Ce n’était pas mon inspiration ». Soit il est ignare, soit il savait mais a minimisé l'impact sur les chrétiens, soit, pire, il l'a fait sciemment et a délibérément visé le Christ et les chrétiens. Il a ajouté :
« Je crois que c’était assez clair, il y a Dionysos qui arrive sur cette table. Il est là, pourquoi parce qu’il est dieu de la fête […], du vin, et père de Sequana, déesse reliée au fleuve (…) L’idée était plutôt de faire une grande fête païenne reliée aux dieux de l’Olympe… Olympe… l’Olympisme ».
Voilà, c'est dit : une grande fête païenne à Paris comme cérémonie d'ouverture des JO. Il faudrait un Saint Paul pour répondre, comme il l'a fait à l'aréopage… Du haut de son trône, dans les cieux, Dieu assiste à la paganisation d'une partie du monde qui, comme aux temps bibliques des Hébreux, retombe dans l'adoration des Baal, Astarté, etc. Quelle tristesse !
Ne s'y sont pas trompées les Églises d'Occident et d'Orient, qui ont – presque – unanimement condamné ces injures à Dieu, au sacrifice sacré du Christ, et à tout chrétien. Même d'autres confessions ont réagi, selon la Conférence des Évêques de France et il est vrai que j'ai lu sur X et ailleurs, des messages de soutien aux chrétiens de la part de musulmans, entre autres.
Les Russes, hélas, n'ont pas raté l'occasion pour médire de l'Occident européen et américain. Ils se sont emparés du sujet, accentuant cet amalgame nauséabond que la presse monte en mayonnaise, entre les conservateurs et les catho, les fachos, les RN, les réac, les pro-Poutine-proTrump, pour diaboliser tout ce qui ne suit pas la pensée unique de la gauchosphère ! Le monde à l'envers ! Et la gauchosphère woke, comme chacun le sait, a la science infuse et est la seule à avoir des idées justes et égalitaires. Quitte à écraser ceux qui ne sont pas d'accord, comme Mammouth écrasait les prix en son temps…
J'entends déjà les cris d'orfraies : "Homophobe !" Ah bon ? Parce que c'est être homophobe que de ne pas apprécier qu'une minorité veuille imposer, tel un diktat, sa "norme" à la planète entière, concernant sa façon de vivre et d'évoluer sexuellement en s'affichant de façon écœurante et décadente dans des manifestations publiques ?
Certes, les LGBTQ bla bla ont leur place dans le cœur de Dieu qui les aime (et moi aussi). Mais cela ne veut pas dire que Dieu approuve leurs orientations, la Bible est plus que claire à ce sujet.
Dieu est toutefois le seul juge et nul doute que certains LGBTQ+ seront sauvés de par les actes d'amour et de miséricorde héroïques qu'ils pratiquent, j'en connais...
Donc, que ces personnes vivent leur vie sans être attaquées, massacrées, houspillées, et soient respectées comme enfants de Dieu, accueillies comme des personnes aimées dans les églises (je n'ai pas écrit bénies en couple), est non négociable. Rappelons qu'on se doit aussi de leur rappeler que, bibliquement parlant, elles sont hors des clous. Que cela leur plaise ou non. Que certains curés disent le contraire ou non. Car le contenu de la Bible, y compris l'Évangile de Jésus, n'est pas à géométrie variable en fonction des époques. Il est immuable. La miséricorde, oui. Cependant, n'oublions pas la justice ! Même Metallica a chanté "And justice for all" (justice pour tous) et "The Four Horsemen" (les quatre cavaliers – de l'Apocalypse !)
Mais que ces personnes soient sans cesse à s'afficher dans des gay pride (certaines connaissant des orgies), à récriminer pour plus d'inclusion, plus de droits, à imposer leur orientation comme une normalité, est devenu exaspérant. Qu'ont-elles besoin de costumes extravagants, de maquillage outrancier, de visages remodelés pulpeux, d'attitudes et de gestes volontairement choquants, s'ils veulent être considérés comme "inclus" ?
Vous verrez, bientôt, les "trouples" ("couples à trois, on nage en pleine polygamie) dont on a vu un exemplaire durant cette cérémonie, seront bientôt, eux aussi, plébiscité et affichés à la Une au nom de la « réparation, de la réconciliation, de l'inclusion ».
Ras-le-bol que les organes de presse ne voie dans les commentaires négatifs sur cette cérémonie d'ouverture des JO, que la signature de l'extrême droite. Ils ont tout faux. Je n'en suis pas et nombreux sommes-nous à ne pas faire partie de cette mouvance. Cette volonté – pourrait-on la qualifier de diabolique ? – de la presse, de, non seulement suivre l'air du temps et le politiquement correct, mais aussi et surtout de l'inspirer ! Où est passé le véritable journalisme qui ose poser des idées, une argumentation, des faits, et ouvrir ses colonnes à tous ?
Attachons-nous à assister à l'une des messes de réparation, avec ou sans adoration eucharistique, que çà et là, certains courageux évêques de l'Eglise catholique célébreront, en France ou ailleurs.
Attachons-nous à ne pas tout gâcher et à jeter le bébé avec l'eau du bain : ce n'est pas parce que la cérémonie d'ouverture, de par certains de ses contenus, a offensé Dieu et les chrétiens, que nous ne devons pas apprécier le sport, les athlètes qui se sont longuement préparés, et les performances que Dieu va offrir au monde entier dans sa miséricorde, sa bonté et sa grandeur.
Attachons-nous à prier avec amour pour que Dieu révèle à chacun, y compris nous-mêmes, son péché.
Tu ne jugeras point.
Laissons à Dieu, Yahvé Tsavaot, le dernier mot. יהוה
Yeshua HaMaschyiah
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