Encore plus de témoignages
de conversion au christianisme
(suite de la page Éblouissants témoignages de conversion)
Sommaire de la page
(suite de la page Pourtant ils se sont convertis)
Autres beaux témoignages de conversion au christianisme :
-
Jeunes
-
Athées
-
Ils n'avaient plus rien à perdre (condamnés à mort, mourants...)
-
Les conversions de musulmans au christianisme
-
Les conversions de juifs devenus catholiques ou juifs messianiques (vidéos)
Plus de témoignages
de jeunes ayant rencontré le Christ
Pauline : « Entrer dans la grande famille de l'Église »
Pendant toute son enfance et adolescence, Pauline n'a jamais été en contact avec la religion. Issue d'une famille française sinon athée, à tout le moins parfaitement désintéressée de la foi, elle n'avait suivi ni cours de religion (qui n'existent pas dans l'enseignement national français) ni catéchisme. « Sans doute cela m'a-t-il un peu manqué, glisse la jeune femme. Ma marraine m'a rappelé récemment qu'à l'adolescence, je lui avais demandé de me prêter sa Bible. »
Puis, Pauline a rencontré l'homme qui est aujourd'hui son mari, un catholique croyant mais pas spécialement pratiquant. « Au fur et à mesure de discussions, je me suis sentie de plus en plus appelée. Il n'y a pas eu un élément déclencheur, mais un cheminement intérieur. » La jeune femme, au look contemporain, le nez orné d'un délicat anneau d'argent, s'est mariée l'an dernier. Son baptême, à l'âge de 29 ans, ne répond donc pas à une quelconque exigence en vue d'une union devant Dieu, mais à une démarche personnelle. Initiative que son entourage trouve parfois « surprenante », mais le plus souvent « chouette », affirme-t-elle. Sa famille, par contre, ne comprend toujours pas vraiment cette soudaine conversion. Elle ne sera pas présente lorsque Pauline recevra, en ce week-end pascal (1), les trois sacrements de l'initiation chrétienne : le baptême, la confirmation et l'eucharistie. Un événement pourtant important pour elle : « C'est mon entrée dans la grande famille de l'Eglise, même si je pense que j'en fais déjà partie. »
(1) En 2018
Comme une lumière qui explose
« Je suis trouvé de ceux qui ne me cherchaient pas. » (Isaïe 65, 1)
« La vraie lumière était celle qui, venant dans le monde, illumine tout homme. » (Jean 1, 9)
« Je suis né dans une famille anticléricale, hostile même à l'idée que Dieu puisse exister. Jusqu'à 23 ans, je n'avais jamais entendu parler de Dieu. Un jour, au travail, je suis tombé par hasard sur un Évangile. À l'époque, je me posais plein de questions sur Jésus. Je cherchais des certitudes sur l'authenticité historique de cet homme venu au monde dans ce village perdu de l'Empire romain et qui a changé l'histoire de l'humanité.
Quand j'ai lu cet Évangile, ç'a été comme une lumière qui explose soudainement. J'ai eu la certitude que Dieu était là, présent, et qu'il existait un autre monde, un monde réel, si réel même que le nôtre, par rapport à lui, n'était qu'une ombre destinée à se dissoudre. Moi, ancien athée, je me trouvais dans une dimension où tout était clair, évident, indéniable. C'était comme une force irrésistible qui m'a obligé à regarder la réalité avec le regard de la foi, une lumineuse certitude d'avoir vu la vérité, avec toute sa force, toute son évidence. Une vérité qui m'a été montrée sans que je l'aie ni attendue ni méritée.
En lisant les Évangiles, toutes mes convictions, mes préjugés, mon snobisme intellectuel, mon aspiration au libertinage sexuel, partaient en morceaux. Ce fut une expérience foudroyante et très dure, à la fois tendre et violente. Un vrai mystère ! Les Évangiles ont provoqué en moi un vrai choc, tant les questions qui se posent à travers Jésus sont denses et éclairantes. »
© La Bonne Semence/(d'après Vittorio Messori)
« Jésus est la preuve que Dieu m'aime »
« Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle. » (Jean 3, 16)
« Le Fils de Dieu… m'a aimé et s'est livré lui-même pour moi. » (Galates 2, 20)
« J'avais envie de connaître ce Dieu dont parlait la Bible. À 18 ans, j'ai fait la connaissance d'un chrétien. Je le trouvais arrogant et suffisant quand il disait qu'il était sûr d'aller au ciel. Cependant, la profondeur de ses convictions m'a impressionné. Je me suis mis à chercher Dieu sérieusement. J'ai décidé de lire la Bible, espérant que Dieu se révélerait à moi. J'ai fréquenté d'autres chrétiens, et je finissais par me croire comme eux, mais ma vie me semblait toujours aussi terne, et Dieu toujours aussi lointain. Je priais, mais j'étais amer : pourquoi autant d'injustices ? Comment parler d'un Dieu d'amour alors que l'on ne voit aucun signe de cet amour ?
Puis un jour, une jeune femme rayonnante de joie et de paix me parla de son abandon à Jésus et de sa “nouvelle naissance”, et soudain je compris que Dieu m'aimait immensément. La preuve de son amour me paraissait évidente : Jésus, son Fils, avait subi le jugement de mes péchés à ma place. Je ressentis alors une paix intérieure indescriptible, quelque chose que je n'avais jamais connu.
Cela fait maintenant 17 ans que cette paix m'habite ; elle ne m'a jamais quitté, malgré bien des déceptions et des difficultés. Mon regard sur Dieu a changé du tout au tout. J'ai la certitude qu'il m'aime. La preuve ? Jésus, tout simplement ; et le fait qu'il renouvelle son amour envers moi jour après jour. Je l'aime aussi, d'un amour imparfait, bien sûr, et je veux vivre ma vie pour lui. »
© La Bonne Semence
Agnès était dans le déni de l'existence de Dieu, mais elle l'a rencontré
« J’aimerais partager mon témoignage pour que les personnes qui ne croient pas sortent enfin de leur tristesse et de leur découragement. Pendant très longtemps la colère, l’angoisse, la peur, l’intimité envers mon prochain, l’égoïsme, la tristesse, le stress, l’isolement ont habité mon cœur, mes pensées. Je suis née et baptisée dans une famille d’athées...»
Lire la suite ici.
Nicky Gumbel et l'Amour de la Saint Valentin
« C’était la Saint Valentin. Ce soir-là, j’étais assis dans ma chambre à la cité universitaire, lorsque mon meilleur ami arriva avec son amie, aujourd’hui sa femme, pour me dire qu’ils étaient devenus chrétiens. Alarmé, je crus qu’une secte les avait embobinés…
À cette époque-là, j’étais incertain de mes propres croyances. J’avais été baptisé et confirmé, mais cela ne signifiait pas grand-chose à mes yeux. À l’école, j’avais régulièrement assisté aux offices religieux et étudié la Bible dans des cours bibliques. Mais j’avais fini par tout rejeter et j’avais même des arguments forts (du moins, je le pensais) contre le christianisme.
Je voulais donc aider mes amis. J’ai d’abord pensé commencer une recherche approfondie sur le sujet. Je projetai de lire le Coran, Karl Marx, Jean-Paul Sartre et la Bible. Comme je possédais un exemplaire poussiéreux de la Bible sur une étagère, je la pris ce soir-là et j’en commençai la lecture. Je lus tout Matthieu, Marc, Luc et, tombant de sommeil, je ne lus que la moitié de l’évangile de Jean. À mon réveil, je le terminai pour poursuivre la lecture des Actes, des épîtres aux Romains et des deux épîtres aux Corinthiens. Cette lecture me passionnait. Alors qu’auparavant, ces mêmes textes ne me disaient rien, cette fois-ci ils étaient pleins de vie et je ne pouvais plus m’arrêter.
C’était la vérité, je le reconnaissais au fond de moi. Et je devais prendre position, car ces textes m’interpellaient avec beaucoup de force. Très peu de temps après, je mis ma foi en Jésus Christ. »
François est allé dans la petite salle sombre et a vu la lumière
François était un jeune garçon tourmenté, dont les conditions de vie n’étaient pas faciles. Élevé sans religion, il était toutefois intrigué par la Bible depuis qu’un camarade lui avait dit qu’elle parlait des origines de l’humanité. Un jour, il voit dans un journal local une adresse où se procurer l’Évangile. « S’ils ont l’Évangile, ils doivent avoir aussi la Bible », pense-t-il. Désireux d’en savoir plus, il s’y rend, hésite sur le chemin, arrive en retard… et ne retient pas grand-chose de ce qu’il entend. Mais au moins il a ce qu’il cherchait, il achète la Bible, et part sans prendre la monnaie.
Quelques jours plus tard, François revient quand même dans la petite salle sombre, qui va devenir pour lui le point de départ de la lumière de sa vie. Les nouveaux venus sont invités à rester, on prie pour eux. François n’a pas eu de contacts avec des chrétiens auparavant. « Je ne me souviens même pas exactement de ce qu’on m’a dit, écrira-t-il plus tard, mais j’ai cru simplement, j’ai prié avec eux, et tout a été changé. Et depuis, jamais le moindre doute n’est monté dans mon esprit. Au contraire, c’est comme un domaine dans lequel je suis entré, à 18 ans, et dans lequel je découvre chaque jour des choses merveilleuses, ou plutôt une chose merveilleuse : l’amour miséricordieux de Dieu à mon égard. »
François a cru, et ce qu’il appelle « le domaine dans lequel il est entré », c’est la “vie nouvelle” que Jésus donne à ceux qui croient en lui.
Beaucoup plus tard, François pourra écrire : « Je suis venu dans cette salle, poussé par des besoins spirituels, une quête de mon âme après Dieu, que je ne connaissais pas, mais à l’existence duquel je croyais. Personne ne m’avait parlé de l’Évangile, j’ignorais tout de la religion, mes parents et moi-même n’allions jamais à l’église. Je n’étais qu’un pauvre garçon, élevé sans Dieu, sans foi, qui progressivement a vu se lever en lui des besoins spirituels, un appel vers Dieu. J’avais un immense besoin de Dieu. C’est peut-être la perte de ma sœur aînée qui m’avait amené sans que je m’en rende compte à rechercher Dieu dans ma jeunesse. Il est certain que la souffrance peut nous pousser à rechercher Dieu.
Et Dieu, je l’ai trouvé, pleinement révélé dans le Christ, en qui j’ai vu mon Sauveur et Seigneur. C’est pourquoi les peines et les déceptions ne peuvent altérer ma foi. Je sais en qui j’ai cru. Ce n’est pas une idée, une imagination, c’est une réalité vécue. Je ne remercierai jamais assez Dieu de s’être fait connaître à moi, pour me révéler son Fils et son amour et me donner de pouvoir porter mon regard, mon cœur, vers ce que sera l’avenir, l’éternité, avec lui. C’est un des plans merveilleux de Dieu. »
François a pu expérimenter que Dieu est un Père bon et tendre pour ceux qui lui font une entière confiance. Il a consacré ensuite sa vie à parler inlassablement de l’amour de Dieu révélé en Jésus Christ.
Plus de témoignages
d'athées convertis au christianisme
Le coup de cœur de Mona Chasserio
« Tout à coup, il y a eu un dévoilement, et j'ai eu l'impression que le monde s'agrandissait. Je comprenais les choses. Comme s'il m'était offert la connaissance, comme si je remontais le temps à son origine. Cela m'a fait un choc immense. Comme si j'avais vécu une explosion nucléaire. Heureusement que j'étais faite de granit, sinon je n'aurais pas supporté ce que j'avais reçu. C'était l'expérience de Dieu, de l'universel. "Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie." Ces paroles de Jésus m'ont ouvert une voie inépuisable de compréhension du monde. Tout a été créé en harmonie. Je n'étais plus pareille et ma vie prenait tout son sens. J'étais dans la joie. Je voyais de la lumière partout. Tout devenait un. »
Mona Chasserio a ensuite fondé Cœur de Femmes, lieu de vie pour femmes en exclusion. Elle a fondé une structure similaire en Afrique, là où elle vit actuellement
Paul Claudel : « Le plus répugnant à mon goût est pourtant bel et bien vrai »
Lorsque Paul Claudel se convertit à Notre-Dame de Paris, l’après-midi de Noël 1886, son cœur expérimente la présence de Dieu, alors que son esprit reste envahi d’innombrables objections contre la vérité de la religion :
« C’est vrai ! Dieu existe, il est là. C’est quelqu’un, c’est un être aussi personnel que moi. Il m’aime, il m’appelle. Les larmes et les sanglots étaient venus et le chant si tendre de l’Adeste ajoutait encore à mon émotion. Émotion bien douce où se mêlait cédant un sentiment d’épouvante et presque d’horreur.
Au sortir de Notre-Dame, mes convictions philosophiques étaient entières. Dieu les avait laissées dédaigneusement où elles étaient, je ne voyais rien à y changer, la religion catholique me paraissait toujours le même trésor d’anecdotes absurdes, ses prêtres et ses fidèles m’inspiraient la même aversion qui allait jusqu’à la haine et au dégoût. L’édifice de mes opinions et de mes connaissances restait debout et je n’y voyais aucun défaut. Il était simplement arrivé que j’en étais sorti. (…) Ce qui était le plus répugnant à mes opinions et à mes goûts, c’est cela pourtant qui était vrai, c’est cela dont il fallait, bon gré, mal gré, que je m’accommodasse. »
C’est au bout de quatre ans de découverte que Claudel finira par saisir et adhérer à toutes les subtilités du catholicisme. On peut devenir croyant instantanément en ayant le cœur touché par la grâce, mais plus souvent lorsque la lumière de Dieu pénètre peu à peu l’intelligence et que sa force transforme la volonté.
Marcelle et "la petite boîte" (qui parle)
Marcelle a 25 ou 26 ans. Elle est dessinatrice et athée. « Sa vie d’avant la dégoûte. Mais elle ne tient pas encore en main la nouvelle. Ne pouvant plus travailler à son dessin, elle échoue de plus en plus fréquemment dans la chapelle de la rue Monsieur, comme attirée par un aimant – par un Amant, par un Amour qui se révèle à elle progressivement et dans un jeu de cache-cache ou de clair-obscur. Un de ces jours où elle est affalée sur sa chaise, elle pose ses yeux rétifs sur le tabernacle en se disant : « Je ne pourrai jamais croire que Dieu est là-dedans. » Et là, stupeur, de cette petite boîte qu’elle pense vide fuse aussitôt une réponse, aussi intérieure que distincte : « Je suis l’Unique Réalité ; une Réalité telle que toutes les autres réalités sont sans consistance à côté de celle-là. » L’artiste athée critique, volcanique et rebelle entre au couvent et devient religieuse sous le nom de Geneviève Gallois. »
À lire en intégralité dans Comme des cœurs brûlants : l'extraordinaire témoignage des convertis, par Alexia Vidot
« Je ne crois pas votre Bible et il est inutile de me la citer »
César Malan, lors d'un voyage en train de Genève à Paris, partageait son compartiment avec un homme qui, le voyant lire sa Bible, se mit à attaquer avec véhémence la doctrine chrétienne. Chaque argument reçut pour réponse un texte biblique, César Malan ne se risquant même pas à l'expliquer ni à le commenter. Toutes les fois que le contradicteur essayait d'échapper par une autre remarque, Malan répondait par un nouveau verset de l'Écriture.
À la fin, le voyageur exaspéré s'écria : « Est-ce que vous ne comprenez pas que je ne crois pas votre Bible et qu'il est inutile de me la citer ? » La seule réponse que donna Malan fut : « Si vous ne croyez pas…, dit Jésus, vous mourrez dans vos péchés. »
Quelques mois plus tard, Malan reçut une lettre dont le nom de l'auteur lui était inconnu. La voici : « Je vous ai enfin retrouvé et me suis procuré votre adresse. Notre rencontre dans le train a été le grand tournant de ma vie. Ce jour-là, vous avez pris l'épée de l'Esprit qui m'a transpercé de part en part ; chaque fois que j'essayais de parer, vous me donniez un nouveau coup de son tranchant. Vous m'avez fait sentir que ce n'était pas vous que je combattais, mais Dieu. »
Tandis que Malan lisait cette lettre, il se souvint de l'épisode et comprit que l'épée de l'Esprit avait fait son œuvre.
© La Bonne Semence
« Ce n'est pas possible pour moi car j'ai du sang sur les mains »
Vieux baroudeur et ancien sous-officier de la Légion, Marcel finissait ses jours dans une maison de retraite de la banlieue parisienne. Il avait décoré sa petite chambre de quelques vestiges de son passé.
Farouche ennemi de toute religion, il acceptait pourtant, sans doute pour passer le temps, la visite d’un aumônier. Celui-ci lui parlait chaque fois de l’amour de Dieu qui a donné son Fils pour le salut des hommes.
Un jour Marcel se décida à interrompre son visiteur : « Écoutez, cher Monsieur, tout ce que vous me dites est magnifique, je le reconnais, mais ce n’est de toute façon pas pour moi. Parce qu’il y a une chose que vous ne savez pas, c’est que j’ai du sang sur les mains. » L’aumônier resta un moment silencieux. Puis il ouvrit sa Bible et lut :
« L’un des malfaiteurs qui étaient crucifiés injuriait Jésus en disant : "N’es-tu pas le Christ, toi ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi." Mais l’autre lui répondit et le reprit : "Tu ne crains pas Dieu, toi ? Car tu es sous le même jugement. Pour nous, nous y sommes justement, car nous recevons ce que méritent les actes que nous avons commis ; mais celui-ci n’a rien fait qui ne doive pas se faire…" Jésus lui dit : "Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis". »
Alors le vieux légionnaire se dressa sur les bras de son fauteuil et s’écria : « Est-ce possible ? Le paradis est donc aussi pour moi ! »
L’aumônier joignit les mains et remercia Dieu, prière à laquelle Marcel ajouta un fervent amen. Jésus venait d’entrer dans sa vie.
La situation était bloquée
« J'étais à un rendez-vous important avec des banquiers en Suisse et la situation était bloquée. J'ai prié notre Seigneur d'intervenir dans le cœur des personnes présentes. Un des participants à la fin m'a dit : "C'est bizarre Maître, mais tout s'est débloqué en un instant". Je lui ai demandé s'il connaissait Jésus. Il m'a dit "bien sûr que je connais Jésus". Je lui ai dit "non, pas le Jésus du dictionnaire ou des images, je parle d'un Dieu vivant, d'un Sauveur". Il m'a regardé avec des yeux étonnés et je l'ai invité à prier avec moi. Nous avons prié, il a pleuré et instantanément, une chaleur a traversé son corps. Il m'a dit : "C'est incroyable le pouvoir que vous avez". Je lui ai répondu que je n'ai aucun pouvoir mais que je suis enfant de Dieu. Cet homme a immédiatement jeté ses cigarettes et ouvre la Bible régulièrement depuis. Merci Seigneur de montrer ta gloire et de nous aimer autant. Gloire à Dieu. »
© Un Miracle par jour/Top Chrétien
« Les gens comme moi (intelligents) ne croyaient pas en Dieu »
Comment un jeune athée, Guillaume Bignon, passionné de volley-ball est devenu un docteur en théologie ? Pour démontrer à sa conquête féminine que croire en Dieu, c'est croire en des sornettes, il s'attelle sérieusement à la question, certain de trouver plus n'en faut pour démonter ses croyances...
« J’ai grandi dans une famille chaleureuse, dans la région parisienne. J’étais le second de trois enfants. Ma famille était catholique, et nous allions à la messe régulièrement, mais c’était plus par tradition, voire peut-être par superstition, que par réelle conviction. Pour ma part, je n’y croyais certainement pas, et je n’avais pas non plus l’impression que les gens autour de moi prenaient la chose sérieusement. Mon père était un mathématicien et informaticien, et ma mère se dévouait de façon ‘religieuse’ au bien-être et à l’éducation de ses enfants. Cela me permit d’obtenir d’excellents résultats à l’école, et de m’engager dans toutes sortes de sports. Je finis par étudier maths, physique et sciences, j’obtins mon diplôme d’ingénieur et acceptai une offre pour travailler dans une grande banque d’investissement. Sur le plan sportif, après avoir atteint 1,94 m, je finis par jouer au volleyball en ligue nationale, voyageant à travers le pays tous les week-ends.
Une partie importante des idéaux athées d’un jeune homme en France consistait également à réussir dans les conquêtes féminines, un domaine dans lequel je commençais à avoir suffisamment de succès pour satisfaire les standards graveleux du vestiaire de volley. Tout considéré, j’étais heureux et satisfait de ma vie, et dans ma culture particulièrement séculière, les chances que j’entende un jour l’Évangile (et que j’y croie), étaient particulièrement maigres.
L’improbable auto-stop
J’avais environ 24 ans quand mon frère et moi sommes allés en vacances sur l’île de Saint-Martin, dans les Caraïbes. Un jour, nous décidâmes de rentrer en stop à la maison. En quelques minutes seulement, une voiture s’arrêta pour nous. À son bord, deux touristes américaines s’étaient arrêtées pour nous demander le chemin de leur hôtel, qui "par hasard" se trouvait juste à côté de notre maison. Nous montâmes à bord et l’une des auto-stoppeuses retint mon attention. Elle mentionna qu’elle croyait en Dieu (un suicide intellectuel selon moi), mais, pire que tout, en conséquence de sa croyance, elle avait la conviction que le sexe n’avait de place que dans le cadre du mariage (conviction encore plus problématique que le théisme, si c’était possible). Néanmoins, nous sommes sortis ensemble (mais ce n’est pas elle que j’ai épousée !).
Les vacances se terminèrent, elle s’envola vers New York, je m’envolai vers Paris, et nous nous trouvâmes ainsi dans une relation problématique.
La prière d’un incrédule
Ses croyances religieuses étaient clairement un problème entre nous, et mon nouveau but dans la vie devint essentiellement de lui expliquer que ces sornettes étaient indéfendables. Alors je commençai à réfléchir : quelle bonne raison y avait-il de penser que Dieu existe, et quelle bonne raison y avait-il au contraire, de penser que l’athéisme était vrai ? Ce pas était important pour moi, parce que ma propre incrédulité reposait confortablement sur le fait que les gens (intelligents) autour de moi ne croyaient pas en Dieu non plus. Mais c’était plus une présupposition raisonnable, que la conclusion d’un argument solide. Alors j’ai commencé à prendre la question au sérieux, pour l’évaluer objectivement. Mais bien sûr, pour réfuter le christianisme, il fallait d’abord savoir exactement ce qu’il affirmait. J’ai alors attrapé une Bible pour tirer cela au clair. Et en même temps, comme je suis un scientifique, je me suis dit que je pouvais tenter au moins une expérience pour réfuter l’hypothèse que Dieu existe : je pensai « si la moindre de ces croyances est vraie, alors Dieu existe, et je présume qu’il est particulièrement intéressé par mon projet ». Alors je commençai à prier sans y croire : « S’il y a un Dieu, alors je suis là, je considère toutes ces questions, alors vas-y, n’hésite pas à te révéler à moi. Je suis ouvert ». Je ne l’étais pas du tout, certes, mais je me suis dit que ça ne devrait pas arrêter Dieu s’il existait.
J’allai à l’église comme on irait au zoo
J’obtins l’adresse d’une église et m’y rendis un dimanche. Franchement, j’y allai comme on irait au zoo, pour voir des animaux exotiques dont on avait lu l’existence dans des livres, mais que l’on n’avait jamais vus. L’expérience me mit particulièrement mal-à-l’aise. Je me rappelle avoir pensé que si un membre de ma famille ou mes amis pouvaient me voir dans ce bâtiment (une église !) je serais mort de honte. Je trouvai assez troublant que ces gens avaient vraiment l’air de croire ce qu’ils pratiquaient, et croyaient sincèrement que leurs prières étaient entendues par Dieu. Je trouvai ça bizarre. Je m’assis tout seul, et écoutai le pasteur, en pensant toujours essentiellement à la honte que j’éprouverais si quiconque me voyait là. Je ne me rappelle pas d’un seul mot prêché par le pasteur ce matin- là. Il finit son sermon, et je me dis « j’en ai assez entendu, j’ai vu ce que je voulais voir, maintenant il est temps de m’enfuir ». J’atteignis la porte de sortie, je l’ouvris, et j’avais un pied dehors, quand soudain j’entendis ma voix intérieure me dire : « C’est ridicule, il faut que je comprenne ». Alors je reposai mon pied à l’intérieur, refermai la porte devant moi, fis demi-tour, et allai tout droit jusqu’au pasteur, et nous eûmes une longue discussion, qui n’épuisa pas cependant toutes mes questions. Je repris un RDV et constatai que les réponses du pasteur étaient cohérentes, et c’était déjà impressionnant en soi. Il me donna un guide d’étude qu’il avait écrit, et qui expliquait les fondements de base du christianisme. J’épluchai ce guide à la maison, et un bon nombre de croyances chrétiennes commençait à avoir du sens pour moi, mais l’une d’entre elles revenait toujours et je l’écrivais sur chaque page : « Pourquoi Jésus dut-il mourir ? ».
Foudroyé par la culpabilité
La réponse vint bientôt, mais pas comme je l’espérais. Á ce moment, mes prières s’étaient changées en « Dieu, si tu es là, il va falloir que tu le rendes évident pour moi » et je commençai à espérer qu’il ouvrirait les cieux, enverrait la lumière, et dirait « bienvenue, mon fils ! ». Ce qu’il fit fut moins spectaculaire, mais bien plus brutal : il réactiva ma conscience. Ce fut tout sauf une expérience agréable. Soudainement, je réalisai une vérité, que je voulais supprimer à tout prix. Quand j’avais commencé mon enquête, j’avais commis une action particulièrement sinistre, même jugée par mes standards athées. Il n’est pas nécessaire de fournir ici les détails sordides, mais c’était extrêmement vicieux, et j’avais dû couvrir cette action par des montagnes de mensonges. Et bien que j’aie su exactement ce que j’avais fait, je l’avais réprimé et caché intérieurement, comme si ça n’était jamais arrivé. Et Dieu fit briller la lumière, et me ramena ce fait en pleine figure, et je vis enfin cet acte pour ce qu’il était. Je fus foudroyé par la culpabilité, physiquement accablé par une douleur dans la poitrine, et dégoûté à l’idée de cette faute que j’avais commise, et de tous les mensonges que j’avais employés pour me couvrir. Je ne pouvais plus faire machine arrière. Je l’avais commise, et je ne pouvais rien faire pour changer cet état de chose. Je me souviens encore comment, dans mon appartement près de Paris, l’ampoule s’alluma et je compris pourquoi Jésus avait dû mourir : Lui qui ne connaissait pas le péché devint le péché pour nous, afin que nous devenions en lui la justice de Dieu . Il prit sur lui la pénalité que je méritais, de telle sorte que dans la justice de Dieu, mes péchés soient pardonnés gratuitement, par sa grâce et non pas par mes bonnes œuvres ou rituels religieux. Il est mort pour que je puisse vivre. J’acceptai alors tout : je plaçai ma confiance en Jésus, et lui demandai de me pardonner, selon les promesses du Nouveau Testament.
Soyez prêts à offrir une défense
Je devins rapidement anxieux d’expliquer à ma famille et à mes amis (toujours athées), pourquoi je pensais que le christianisme était vraiment vrai. Alors je me plongeai dans des livres, et commandai tous les DVD que je pouvais trouver : des leçons, des débats formels, les arguments pour l’existence de Dieu, les arguments athées et leurs réponses, la fiabilité des Écritures bibliques, et toute la panoplie de l’apologétique chrétienne : théologie, histoire, philosophie analytique, et au final, tout ce qui touchait de près ou de loin à ma foi nouvellement trouvée. Au cours des quelques mois suivants, je passais tout mon temps libre à me plonger dans ce matériel, absorbant toutes ces informations, et en appréciant chaque seconde. C’est d’autant plus ironique qu’avant ma conversion, je ne supportais pas les livres, et n’en avais jamais lu. Maintenant, je ne pouvais plus m’arrêter. Après quelques mois à ce régime, je pensais « si je dois dépenser tout mon temps et mon argent à étudier ces choses, autant en obtenir un diplôme ! ». Alors je m’inscrivis à l’université, en séminaire théologique à New York, pour obtenir un Masters en études du Nouveau Testament. Peu après, dans la providence merveilleuse de Dieu, je rencontrai enfin une femme américaine qui cette fois était faite pour moi, nous nous sommes mariés, et avons fondé une famille. Après avoir obtenu mon Master, je finis par faire de la recherche en doctorat en théologie systématique et philosophique, sous la supervision d’un théologien très respecté, développant ainsi mon expertise dans la matière, et devenant peu à peu un universitaire chrétien et un apologète.
Prouver que Jésus n'est pas ressuscité
Après la conversion de sa femme en 1980, Lee Strobel, un athée convaincu, a débuté des recherches pour prouver que Jésus-Christ n'était jamais ressuscité, mais son enquête l’a plutôt mené à avoir la foi. Incité par les résultats de son enquête, il est devenu chrétien le 8 novembre 1983. Voir le film Jésus, l'enquête ou lire le livre.
Francis Schaeffer : « Comment j’ai découvert la vérité sur tout ce qui existe »
« Pour moi, le christianisme, c’est la vérité, non pas une vérité religieuse, mais la vérité sur tout ce qui existe. Quand j’étais jeune, j’étais incroyant. À l’âge de 17 et 18 ans, je lisais beaucoup de philosophes, et j’ai compris combien les philosophes non-chrétiens avaient de talent… pour soulever des problèmes sans jamais les résoudre. Un jour, j’ai décidé de lire la Bible. Ne sachant rien d’elle, j’ai commencé par le début, comme cela se fait pour n’importe quel autre livre. Dès les premiers chapitres du livre de la Genèse, j’ai compris qu’il fallait la lire sans a priori si je voulais avoir la réponse aux problèmes soulevés et non résolus par les philosophes. Je ne sais pas à quel moment je me suis tourné vers Dieu, mais je sais avec certitude que c’est la Parole de Dieu qui en a été le moyen.
La Bible est effectivement la vérité et ma conversion a surtout consisté à comprendre réellement ce que j’avais appris. Cela ne signifie pas que l’expérience vécue avant ait été dépourvue d’émotions, et qu’elle n’ait pas été accompagnée d’un sentiment de reconnaissance… Depuis 50 ans, j’étudie et je suis de plus en plus persuadé de la vérité du christianisme et des réponses que Dieu nous donne dans la Bible.
Nul autre système, religieux ou politique, occidental ou oriental, contemporain ou ancien, ne propose de réponse adéquate à toutes les interrogations humaines, comme le font les Saintes Écritures. »
« Auparavant, je considérais que la résurrection de Jésus,
c’était une histoire inventée pour les gens naïfs… Mais petit à petit, je me suis dit que si des gens étaient prêts à mourir pour une cause, c’est que celle-ci devait être sérieuse ! »
David
Ils n'avaient plus rien à perdre...
David, dément et violent : « Dieu, je ne sais pas si je vais croire en toi demain »
« Atteint d’une forme de démence et responsable de plusieurs actes très violents, j’ai été envoyé en hôpital psychiatrique, puis en prison. Là, j’ai connu Randy, un détenu chrétien. Il priait souvent et lisait la Bible. Je me moquais toujours de sa foi, mais nous sommes cependant devenus amis. Jour après jour, ses questions et les réponses qu’il donnait aux miennes ont commencé à me déstabiliser. Auparavant, je considérais que la résurrection de Jésus, c’était une histoire inventée pour les gens naïfs… Mais petit à petit, je me suis dit que si des gens étaient prêts à mourir pour une cause, c’est que celle-ci devait être sérieuse ! Si les apôtres étaient prêts à mourir pour Jésus, c’est qu’ils l’avaient vraiment vu vivant, ressuscité.
Mes convictions se sont écroulées une à une. Alors que je pensais être un homme au-dessus des autres, j’en suis venu à penser que j’étais pire que tous. Qui pouvait m’aimer et me donner une vie nouvelle ? Pourquoi pas ce Jésus dont Randy me parlait si souvent ? Alors, je me suis mis à genoux et j’ai prié : « Dieu, je ne sais pas si je vais croire en toi demain, mais je crois en toi maintenant, si tu veux faire un travail en moi, fais-le s’il te plaît ». Quand je me suis relevé de ma prière, pour la première fois depuis des années, je ne voulais faire de mal à personne.
Moi qui étais un homme violent et blasphémateur, j’ai obtenu miséricorde, la grâce de notre Seigneur a surabondé afin que je serve d’exemple à ceux qui croiront en lui pour la vie éternelle (1 Timothée 1. 16). »
Marino Restrepo : enlevé par les guérilleros, il se trouve à nu
Le parcours de Marino Restrepo ressemble à celui de tant de personnes du temps présent. Élevé dans la foi catholique, il s'en est éloigné pour plonger dans le monde d'aujourd'hui
où il a puisé à toutes les spiritualités à la mode, où les mots "Je", "Moi" dominent, où les mots "péché", "enfer", font rire comme autant de fariboles pour esprits crédules,
et où les chrétiens sont considérés comme des niais. Certes, à Hollywood, il donnait de l'argent aux pauvres… Mais le faisait-il avec amour ?
Enlevé dans la jungle colombienne par des guerilleros, il va être dépouillé de tous ses biens, certitudes, croyances, réalisant qu'aucun de ces artifices ne peut l'aider. À nu, il va penser à se tourner vers le seul, l'unique. Vers Dieu. Sauf que même en puisant aux tréfonds de son enfance, il se trouve incapable de se souvenir de la moindre prière.
C'est alors que Jésus va faire pour lui des merveilles, puis lui révéler des vérités qui font beaucoup réfléchir. A lire ici et la suite ici.
La "Chatte", espionne, femme de mauvaise vie et condamnée à mort
Mathilde Carré, dite Lily Carré, Victoire (pour les Anglais), La Chatte (die Katze pour les Allemands), Micheline, etc., athée et presque fière de l'être, va être tour à tour prof, infirmière, femme de mœurs légères, espionne. Puis elle va trahir son pays, trahir les ennemis de son pays, et ensuite subir arrestation et tribunaux. Elle est alors considérée comme responsable de très nombreuses arrestations au sein de la Résistance française. C'est en prison que Dieu l'attend. Après vingt-deux ans de fidélité à Dieu, elle publie un livre, Ma conversion, dans lequel elle livre son cheminement vers Dieu.
À lire ici.
À la dernière heure
Pendant la guerre civile américaine, l’évangéliste Moody était actif comme aumônier sur le champ de bataille. Il dit un jour à un soldat grièvement blessé :
– Je voudrais bien vous porter au ciel sur mes épaules, mais je ne le peux pas.
– Mais qui le peut ? demanda le soldat.
– Jésus Christ seul. C’est pour cela qu’il est venu.
Le soldat secoua la tête :
– Non, il ne peut pas me sauver ; j’ai péché toute ma vie.
– Mais le Seigneur Jésus est venu précisément pour sauver des pécheurs, rétorqua Moody. Il lui lut alors différents textes de la Bible. Le soldat l’interrompit :
– Est-ce que c’est dans la Bible ?
– Oui, textuellement !
– Lisez-le moi encore, s’il vous plaît.
C’est ce que fit Moody. Le soldat blessé fit un effort comme pour s’asseoir et dit :
– C’est bon. Relisez-moi encore une fois ces versets.
Moody les relut et continua jusqu’à la fin du chapitre. Le visage du soldat était paisible et lumineux ; il murmura :
– « Afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » C’est tout ce qu’il me faut.
Quelques heures plus tard, se reposant sur cette promesse du Seigneur qu’il venait d’entendre et qui avait transformé ses derniers instants, il partit en paix vers lui.
André Levet, profession gangster... Dernière cavale avec Jésus Christ
Arrêté pour une attaque à main armée, il est mis en prison jusqu'à sa majorité. À 18 ans, il s'engage pour faire la guerre d'Indochine pour éviter la prison. Blessé, rapatrié en France et soigné jusqu'à sa majorité, il devient ensuite un membre du grand banditisme. Lors de sa dernière cavale, il fait une drôle de rencontre. À lire ici.
Ils étaient d'une autre religion
et se sont convertis au christianisme
De religion orientale, ils ont rencontré le Christ et on vécu une conversion au christianisme
L'Asie est une partie du monde où se produit actuellement un très grand nombre de conversions. Les chrétiens y souffrent de persécutions sévères car la liberté de religion n'y est pas considérée comme un droit.
Le Japonais qui se moquait des chrétiens
Takashi Nagaï (Japon), radiologue, se moquait des chrétiens et croyait que la science était le seul moyen de découvrir la vérité. Survivant du bombardement atomique de Nagasaki, il est devenu écrivain et s'est converti au catholicisme. « Dès mes années d’humanité, écrira-t-il après sa conversion, j’étais devenu prisonnier du matérialisme. À peine entré à la faculté de médecine, on me dit de disséquer des cadavres. C’était là, me disait-on, tout ce qu’il y avait dans l’homme. J’en conclus aisément que l’homme n’était rien que matière. La merveilleuse structure de l’ensemble du corps, l’organisation minutieuse de ses moindres parties, tout cela causait mon admiration. Mais ce que je maniais ainsi, ce n’était jamais que pure matière. » Il se convertira en voyant, dans les yeux de sa mère mourante, l’infinitude de la vie dont la mort n’est qu’une étape.
À lire en intégralité dans Comme des cœurs brûlants : l'extraordinaire témoignage des convertis, par Alexia Vidot
Madame Li, la révolution culturelle et le Dieu des chrétiens
Mme Li vivait chez l'un de ses fils, en Chine. Comme ils étaient très pauvres, elle couchait dans l'étable avec les chèvres, mais cela ne l'empêchait pas d'être heureuse. Elle avait entendu parler de Jésus pour la première fois au début des années 1960, alors qu'elle venait de se casser la jambe en travaillant dans un champ. Elle était restée clouée au lit pendant huit mois. Mais un jour, elle a improvisé deux béquilles pour aller chez une de ses connaissances dans un village voisin, où elle a eu l'occasion de rencontrer un chrétien. C'était au plus fort de la révolution culturelle et le christianisme était alors strictement interdit.
Mme Li a été profondément touchée par le témoignage de cet homme. Il s'adressait à Dieu comme s'il s'agissait d'un père aimant. À la fin du moment de prière, la vieille dame a posé beaucoup de questions : « Qui est ce Dieu ? Est-ce qu'il peut être mon père à moi aussi ? » Elle a accepté Jésus pour son Sauveur, et par la suite a participé à des réunions secrètes régulières, au cours desquelles on lisait des passages de la Bible. Elle ne savait pas lire, pourtant elle aurait bien voulu posséder elle-même le précieux livre.
Bien des années plus tard, alors qu'elle approchait des 96 ans, elle apprit qu'on distribuait des Bibles dans une église. Sans hésiter, elle se mit en chemin, malgré une assez longue distance. Lorsqu'enfin elle eut sa Bible en main, un grand sourire illumina son visage : « Maintenant que j'ai ma propre Bible, je vais pouvoir demander à ma famille de me la lire tous les jours. »
© La Bonne Semence
Les musulmans devenus chrétiens
Raoudha : « Je n'ai pas peur car j'ai le Christ »
D'origine tunisienne, Raoudha a été musulmane pendant 52 ans de sa vie. C'est une vidéo Youtube qui a provoqué chez elle une révélation. Le témoignage d'un musulman converti au christianisme l'a profondément touchée. Les églises lui étaient pourtant familières depuis longtemps. Mariée à 18 ans avec un homme chrétien qui jouait souvent de la musique dans les églises, elle accompagnait fréquemment son époux : « Pour moi, prier dans une église ou dans une mosquée n'avait pas d'importance. C'était la maison de Dieu dans les deux cas. » Raoudha dit avoir toujours été une musulmane profondément croyante, bien que non pratiquante. Si son premier mari n'a jamais tenté de la convertir, son compagnon actuel, lui, y attachait plus d'importance. « Il me disait souvent “Tu es quelqu'un de bien, mais il te manque quelque chose : le Christ !” »
Mais c'est cette fameuse vidéo qui provoque le déclic. « Il s'est passé quelque chose, explique-t-elle avec émotion. C'était comme quelque chose qui se déchire, ici, dans la poitrine. J'ai reçu le Christ. Et maintenant, je ne le quitterai plus jamais. »
Cette ancienne musulmane considère que Dieu est venu la chercher avant de la mettre à l'épreuve. Deux mois après sa conversion, Raoudha reçoit un coup de téléphone : son neveu vient d'avoir un grave accident. Il a peu de chances de s'en sortir. « Je suis allée à son chevet et j'ai beaucoup prié. J'étais la seule dans la famille à être convaincue qu'il survivrait. Ma famille est peu croyante, mon neveu est d'ailleurs le seul pratiquant. » L'adolescent a depuis lors recommencé à parler et à marcher : il a recouvré 80 % de ses capacités. Une forme de miracle que cette future baptisée attribue à Dieu. Reste que la famille tunisienne de Raoudha n'est pas au courant de sa conversion. Peu de proches le sont. « Je n'ai pas peur de perdre des amis, affirme Raoudha avec sérénité. Car j'ai le Christ. »
« Ne crains rien. Continue ta quête, je suis avec toi »
Charbel est un musulman converti, baptisé en 2017. Visions et messages du Ciel l'ont mis sur la voie de la découverte du christianisme. Sa conversion a commencé pendant le ramadan. Alors qu'il se promenait à Beyrouth après la prière du matin à la mosquée, Charbel a entendu une voix venant du ciel, lui disant des paroles qu'il n'avait jamais entendues auparavant : « Gloire à Jésus, le Fils unique de Dieu. Et gloire à la Vierge Marie, la Mère de Dieu. »
« Ce fut un choc pour moi », a confié Charbel au National Catholic Register (1). Ayant grandi dans une enclave sunnite de Beyrouth (Liban), il ne connaissait aucun chrétien avec lequel il aurait pu partager son expérience. La veille de Noël, il était chez lui en train d'étudier, quand il a vu la Vierge pour la première fois. Elle lui a dit : « Ne crains rien. Continue ta quête, je suis avec toi », raconte Charbel.
« Tout ce que je sais, c'est que c'est la plus belle chose que j'aie jamais vue. Dès que je l'ai vue, j'ai senti la paix dans mon cœur. Je me sentais comme chez moi. » Il revoit la Vierge Marie la veille de Noël pendant trois années de suite. « Elle répétait les mêmes mots à chaque visite », se souvient-il. Ce n'est qu'après la dernière vision que Charbel est devenu ami avec un chrétien rencontré lors d'une fête… Charbel a été baptisé lors de la fête de la Sainte-Croix huit mois plus tard et a choisi le nom de Charbel en l'honneur du saint Charbel du Liban.
(1) Périodique catholique américain. Site internet : https://www.ncregister.com/
© www.mariedenazareth.com. Source : National Catholic Register
Il a suffi d'un tableau du Bon Berger
« Je suis né en Afrique du Nord, mais j'ai grandi en France. J'étais de culture musulmane mais en réalité j'étais athée. Passionné par la musique, je jouais de nombreux instruments et composais des chansons.
Un jour, le directeur de la compagnie qui éditait mes chansons m'a proposé d'écrire une comédie musicale. Quand je suis sorti, il s'est mis à pleuvoir, et je me suis abrité sous un porche pour réfléchir à cette proposition. C'était le porche d'une église. Je suis entré et mon regard a été attiré par une représentation de quelqu'un qui tenait un agneau dans ses bras, avec ces mots en bas du tableau : “Le bon berger donne sa vie pour ses brebis”. J'ai pensé : “Quel genre de personne serait prête à donner sa vie pour les autres ?” J'ai demandé au prêtre qui se trouvait là de me raconter l'histoire de ce tableau. Il m'a donné les quatre évangiles. Du coup, j'ai écrit une comédie musicale sur la vie de Jésus, mais elle n'a pas pu être produite. Le sujet était trop brûlant !
Cela n'était pas grave, Jésus était devenu toute ma vie. J'ai arrêté de boire et de fumer. Je n'avais plus envie de passer des heures dans les bars ou à faire la fête ; j'avais bien plutôt le désir de revenir en Afrique du Nord pour parler à mon épouse Nora de Jésus qui était entré dans ma vie. Elle aussi a été touchée par la personne du Christ car il a répondu à ses prières. Maintenant, ensemble, nous servons le Seigneur et nous composons des chants en berbère, en arabe et en français, pour la gloire de Dieu. »
Rafik
© La Bonne Semence
« Jésus Fils de Dieu, un blasphème… »
« J'avais pratiqué la religion de ma famille, en condamnant sévèrement la chrétienté. À 18 ans, je fus contacté par une chrétienne sur un stand biblique. Je ne savais rien de la Bible, sinon qu'elle était “falsifiée”, selon ce que j'avais appris. On m'avait enseigné que les chrétiens disaient que Jésus était le Fils de Dieu, et pour moi, c'était un blasphème. Jésus n'était qu'un homme, prophète certes, mais créé, au même titre qu'Adam.
Je décidai d'étudier et de comparer la Bible avec d'autres livres religieux.
À mesure que je la lisais, je me rendais compte qu'elle était autre chose que ce que je pensais ; et surtout, l'image que je me faisais de Jésus était fausse. D'étranger et imposteur, Jésus devenait pour moi un homme unique ! Qui a, comme lui, consolé les pauvres, accueilli les personnes rejetées, soulagé des opprimés ? Qui a, comme lui, parlé avec simplicité et vérité de Dieu qui aime tous les hommes ? Et surtout, qui a, comme lui, révélé le Dieu et Père de tous ceux qui placent leur confiance en lui ? Par la suite, j'ai assisté à des réunions chrétiennes. Cela m'a aidé à comprendre l'évangile du salut. L'amour de Dieu, manifesté à la croix, m'avait bouleversé, moi qui ne connaissais qu'un Dieu puissant, sans aucun pardon pour le pécheur. Mais Jésus Christ est maintenant mon Sauveur et mon Maître. La paix a inondé mon cœur ! Je connais Dieu comme mon Père céleste, et cela grâce à Jésus, crucifié et ressuscité pour moi. » Écouter le témoignage audio sur la page principale Conversions.
Jamel
© La Bonne Semence
« Jésus fera le plus grand miracle pour nous racheter »
« Il y a exactement cinq ans, j'étais encore musulman. Une nuit de mars, pendant mon sommeil, j'ai fait un songe : un pigeon se posait sur ma main, je l'ai réellement senti. Sur ses ailes, un papier blanc enroulé sous forme de message m'était destiné. Soudain, une forte voix profonde me disait : « Lis la Bible, lis la Bible, lis la Bible ». Je me suis réveillé en écoutant la dernière phrase. Sans panique, je m'étais rendormi. Pendant le déjeuner, quand j'ai raconté mon rêve à ma femme, elle était très émue et rendait gloire au Seigneur Jésus-Christ. Elle m'expliquait que c'était l'Esprit Saint et que Dieu m'avait racheté et sauvé. Elle était musulmane aussi mais savait déjà bien avant moi que la vérité et le salut se trouvaient en Jésus-Christ de Nazareth. Depuis, nous avons beaucoup grandi dans la foi. Dieu lui-même s'est occupé de nous, il nous enseigne en personne, on l'a vu plusieurs fois dans des visions. Merci et gloire au Seigneur Jésus-Christ pour des siècles et des siècles. Je voudrais dire que, même si on est athée, animiste ou non-croyant, Jésus fera le plus grand miracle pour nous racheter. Amen. »
Moussa
« Je t'aime de tout mon être, je t'aime du plus profond de mon cœur. »
Nahed Metwalli a rencontré le Christ en 1988. Elle ne connaissait de lui que ce qu'en disait le Coran. Endormie, elle a un songe :
« Il se dirige vers un grand siège et s'y assied. Je le suis et me prosterne à ses pieds, envahie de joie et de crainte. Je me demande qui il est. Le visage lumineux, sa peau translucide, une beauté ! (…) Il semble fatigué, épuisé, triste. Il ferme les yeux. Qui est ce Puissant ? Plus je le regarde, plus je m'attache à lui. Brusquement, il ouvre les yeux et me regarde. Je ne peux supporter son regard et tombe sur ma face, prête à perdre connaissance. De ses yeux larges émanent des rayons aussi lumineux que ceux du soleil et les prunelles de ses yeux sont grandes, on dirait qu'elles contiennent tout le globe terrestre ; leur couleur, d'un bleu clair presque vert, est merveilleuse. Ces rayons tombent sur moi et parcourent mon corps.
Je ne peux fixer mon regard sur lui. Il rapproche son visage du mien ; son visage est tout entier amour, tendresse, délicatesse. (…) Sa tendresse dépasse la douceur d'une mère à l'endroit de son enfant au cœur dur. Et ce Puissant connaît mon nom. "Regarde-moi". Je lui dis : "Je ne peux pas". Il me dit avec assurance : "Ne crains pas. Regarde-moi". Et ma crainte disparaît à l'instant. Je regarde attentivement son beau visage. Puis il dit calmement : "Que vois-tu ?". Je lui dit : "Je vois l'aspect d'un enfant". Alors je vois des larmes couler à flot de ses yeux comme un torrent.
Puis tout disparaît. Je veux retourner à ce que je viens de vivre. Je veux retourner à lui. Aide-moi, ô mon Seigneur, à supporter l'exil sur cette terre, loin de toi, sans te voir. Les rayons qui émanent de ses yeux ont fait fondre mon cœur et lui en ont substitué un autre… Je t'aime de tout mon être, je t'aime du plus profond de mon cœur.
Je suis tout désir de lui. (…) Je l'aime parce que je sens chez lui un amour pareil. Amour.. tendresse… délicatesse… bonté… pureté… innocence… Je ne trouve pas de mots aptes à exprimer ce que je vois. (…) Les larmes de Jésus rappellent celles qu'il a versées sur Jérusalem qui n'avait pas "compris le message de paix" et qui n'avait pas "reconnu le temps où elle fut visitée" (Luc 19, 14-44). Jésus pleure sur nos refus. (…) Je suis incapable de le décrire. Incapable d'endurer la séparation.
Nahed Metwalli, Ma rencontre avec le Christ
« Je m'appelais Fatima, je suis Armelle ! »
Rencontre avec Issa et Mariam
Touchée par Jésus et la Vierge Marie dès sa petite enfance, voici le récit du très beau chemin qui a conduit une musulmane au baptême.
« Mon histoire commence à l'été 1983. Habitant B... (92), j'eus la possibilité de partir en camp de vacances, à la Trinité-sur-Mer, en Bretagne. Un jour, sur la plage, je rencontrai un jeune garçon de 9 ans. J'en avais 7. Il me dit qu'on pouvait voir Dieu. C'était un garçon du pays. Cette parole bouleversa ma vie. J'aimais beaucoup Dieu et le fait de croire que l'on pouvait « voir Dieu », m'amena à le prier de me laisser Le voir. Je me mis à Le chercher dans les mosquées. J'étais très assidue dans mes prières. Seulement je ne le trouvais pas. Mon père me répétait qu'hormis Moïse, personne ne pouvait voir Dieu. Seulement au fond de moi, j'avais la certitude que c'était possible.
En 1986, le lendemain du lundi de Pâques, nous partîmes avec ma classe pour un voyage à Chamonix. Sur place, notre maîtresse nous amena visiter une église. J'y suis entrée malgré les menaces des autres enfants musulmans qui connaissaient ma famille. À l'intérieur, je sentis une présence que je ne savais qualifier. Cette présence m'appelait. Puis au bout d'un moment, je demandai au prêtre si je pouvais m'asseoir pour prier. Et puis, ces bancs de communion m'intriguaient. Une fois installée, à genoux et les mains jointes comme les chrétiens, je me mis à redire la même prière « Mon Dieu, permettez-moi de vous voir », car le prêtre avait dit que tout le monde pouvait prier dans la maison du Bon Dieu.
Quelques jours après notre retour de ce séjour, c'était un lundi soir, le jour de la saint Anselme, au moment de la prière familiale où nous nous prosternons, je vis un visage. À Sa vue, je sus dans tout mon être que c'était Dieu. Une joie extraordinaire m'envahit. J'étais exaltée et j'avais enfin la certitude qu'on pouvait voir Dieu. Puis, je vis tout Son corps. C'était un homme qui portait comme une longue robe blanche. Brun, portant la barbe, ses cheveux longs étaient légèrement ondulés.
Rencontre avec « Issa » et « Mariam »
J'avais à la fois hâte de me relever pour annoncer à ma famille la bonne nouvelle et en même temps je voulais passer ma vie ainsi à Le regarder, dans cette joie que je ne saurais décrire. À la fin de la prière, j'annonçai la bonne nouvelle à mes frères et à mes parents. Ce fut dramatique pour moi. On m'insulta, m'accusant de mensonge. On se moqua de ma vision. Mon père me demanda de décrire ce que j'avais vu et je décrivis cet homme. Le regard noir de mon père quand je fis cette remarque : « C'est peut-être le prophète » m'amena à me taire et ainsi à ne pas dire le nom du prophète qui me venait à l'esprit : "Issa". Je n'avais que dix ans.
Le 8 mai 1986, c'était le jour de la fête de l'Ascension, de la victoire de 1945 et de la victoire de la bataille d'Orléans de sainte Jeanne d'Arc. Il n'y avait personne chez moi et je sentis une présence. Je me mis à vérifier partout s'il y avait quelqu'un. Pour être sûre que personne ne rentrerait dans la maison, j'avais mis les clés sur la porte et les avait tournées comme me l'avait appris mon père. Puis, je partis m'allonger sur mon lit avec des pinces à cheveux dans ma main droite en guise d'armes de défense...
J'étais allongée sur le côté gauche, les genoux remontés mais pas complètement. Je fermais les yeux car j'avais peur de cette présence que je ressentais de plus en plus. À un moment, je sentis un corps s'asseoir près de moi. Mon cœur se mis à battre la chamade. Je ne dormais pas, mais de peur, je n'osais pas ouvrir les yeux. Ma main gauche était sur ma tête, ouverte, tournée vers le plafond et je sentis une main d'adulte se poser sur la mienne. Pour être sûre que je ne rêvais pas, je me mis à serrer la main de toutes mes forces. Mon cœur battait de plus en plus vite et une voix douce de femme me parla. Elle me disait : « Fati, Fati, tout va bien se passer. » Puis, elle me confia un message que je ne compris pas mais qui me fit très peur/ Mais sa voix me rassura. Je savais au fond de moi que je pouvais ouvrir les yeux et regarder. Puis la peur reprit le dessus. D'un coup, cette main disparut et je commençai à me détendre. Je parlais en moi-même et je m'encourageais à ouvrir les yeux. La main réapparut sur ma tête qu'elle caressait. Puis, tout disparut. Je fis un bond de mon lit pour chercher cette personne mystérieuse. Mais il n'y avait personne chez nous. Les clés étaient toujours sur la porte. Alors, je décidai de garder cela pour moi.
En grandissant, mon regard avait commencé à changer sur l'islam. Mais pour autant, je ne m'en éloignais pas. Je croyais en Dieu et je n'aurais pas su vers qui ni où me tourner. J'ai continué à prier en secret, comme dans cette église, demandant à voir Dieu. Souvent j'entendais dans mon esprit que c'était comme cela que je serais exaucée.
Lors de deux attentats commis en France par des islamistes algériens, je fus sauvée par quelqu'un que je ne voyais pas mais qui me protégea in extrémis. Durant l'été 1997, j'étais en Algérie et je fus sauvée de nouveau d'un attentat. En effet, ce soir-là une voix m'avertit qu'il allait y avoir un attentat et me dit qu'il fallait que je prie. Alors avec ma tante malvoyante, N..., je fis brûler de l'encens et je me mis à réciter des prières que la voix me dictait et que je croyais lire sur le Coran. À la fin, ma tante me questionna sur cette prière : « Sais-tu qui tu as prié ? ». Je lui répondis par la négative. Elle m'informa qu'il s'agissait de Mariam. Je lui répondis alors : « C'était elle qui devait nous protéger ». Puis elle me fit remarquer que cette prière n'était pas dans le Coran mais qu'elle était très belle et qu'elle n'avait pas tout compris. L'attentat eut lieu dans la nuit. Deux bombes avaient explosé près de notre maison. Celles de nos voisins, plus éloignées, furent touchées, mais pas la nôtre, ce qui surprit les enquêteurs. Puis une cousine nous appris, qu'elle-même et tous les autres membres de la famille qui habitait plus haut dans la montagne, avaient vu comme une main au-dessus de la maison, sous la fumée. Elle semblait ainsi nous protéger. Je rendis grâce à Mariam.
« L'appel au fond de moi »
En 2002, je rencontrai D..., qui allait devenir mon mari. Je quittai l'islam en 2004. Ce fut très compliqué avec mon père qui me renia. Mais mon entêtement à rester unie à ma famille et la bonté de mon mari eurent raison de la colère de mon père. En 2006, nous quittâmes la région parisienne pour nous installer en Bretagne. J'aimais visiter les églises car je les trouvais belles. Je voulais savoir qui appelait dans ces églises. C'est à cette époque également que nous découvrîmes fortuitement (D... voulait absolument me faire une surprise en m'amenant à la plage où, enfant, il allait en centre aéré) que nous nous étions rencontrés sur cette plage de la Trinité-sur-Mer quand il avait 9 ans et moi 7 ans.
En 2009, nous avons eu notre premier enfant. Il y eu des complications à l'accouchement du fait de ma maladie. Je dus subir une césarienne pour laquelle l'anesthésie n'avait pas bien fonctionné. Durant la seconde partie de l'opération, une très belle dame vint à ma gauche et me tendit la main pour m'aider à supporter l'opération. Elle avait un voile blanc et une robe bleue ciel. Je croyais que je délirais à cause de la douleur et de la morphine qu'on me donnait. Mais, elle m'offrit sa main que je serrai très fort à chaque pic de douleurs pour ne pas stresser l'équipe médicale qui essayait de faire au plus vite. Cette belle dame ne disait rien et me regardait avec compassion. Je ne savais pas qui elle était, mais pour moi elle m'avait sauvée.
Fin 2011, un jour, mon mari m'invita à arrêter de regarder la télévision, dont j'étais très dépendante, pour regarder sur internet une conférence sur l'Histoire de France. À la fin de cette conférence, il se passa quelque chose en moi. Il y eut comme un déclic, un réveil. Je voyais des choses qui n'étaient pas dans la conférence. Ces choses s'imprimaient par-dessus ce que je voyais à l'écran et me firent pleurer. Je dis à mon mari : « Je ne veux plus regarder la télévision. Ce sont tous des menteurs. Tu as vu tout le mal qu'on a fait à la France et qu'on continue à lui faire ? ».
À partir de ce jour-là, j'ai éteint la télévision. J'ai commencé alors à entendre un appel au fond de moi. Je n'osais pas en parler à mon mari. Je lui avais déjà raconté beaucoup de choses surnaturelles qui m'étaient arrivées depuis ma petite enfance. Mais là, je ne savais pas comment lui décrire cet appel. Ce que je ne savais pas, c'est que mon mari lui aussi sentait un appel, mais sur le plan politique : après bien des recherches sur internet, il eut l'absolue certitude que l'unique solution pour sauver la France était un retour à la royauté de droit divin, mais sans cheminer vers la foi à titre personnel.
En février 2012, après avoir découvert que l'islam était un mensonge, je partis assister à une messe d'enterrement dans une petite église de Guémené-sur-Scorff (56). Durant la célébration, je sentis de l'amour venir de l'extérieur vers moi. Je ne comprenais pas d'où venait cet amour. Je pensais que cela venait des textes et je croyais même que les textes étaient écrits par la famille du défunt. De plus, le prêtre, d'origine polonaise, avait un accent si fort que je ne comprenais pas tout ce qu'il disait. En regardant les gens présents, je voyais bien que cet amour ne venait pas d'eux. Puis, je vis l'âme du mort sortir du cercueil, pendant que le prêtre le bénissait. Une lumière jaillit du fond de l'église, de derrière l'autel. Puis une silhouette s'avança, entourée de deux anges qui brillaient et cachaient le visage de cette silhouette et emmenèrent l'âme avec eux.
Enfin, le prêtre nous appela à venir bénir le corps et je sentis un appel à y aller. Durant tout le temps du trajet, de ma place jusqu'au cercueil, je me répétais que c'était une bonne chose, que je le faisais pour la famille du défunt, etc. Une voix m'insultait en me disant que je n'étais pas chrétienne et que je n'avais rien à faire ici. Au moment où je fus proche du cercueil, la personne devant moi se retourna et me tendit le goupillon, comme si elle me disait : « Bon, tu y vas maintenant ». J'avais regardé avant comment elle s'y prenait, pour faire pareil. Au moment de faire le signe de croix, j'entendis des insultes dans mon oreille et je continuai à faire le signe de croix avec le goupillon « pour la famille du défunt », parce que c'était une chose bonne. Je sentis comme une force qui voulait m'empêcher de faire ce signe. Je dus me forcer à le faire, car je sentais au fond de moi que c'était bon. Ensuite, nous partîmes au cimetière et je refis le signe de croix sur le cercueil ; et j'aimai cela.
« Cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira »
En rentrant chez moi, je dis à mon mari que je comprenais pourquoi il disait que le christianisme était une religion d'amour (alors qu'il ne pratiquait plus depuis près de 30 ans). J'ajoutai : « Si je croyais en Dieu je me convertirais tout de suite ». A ce moment-là, D... s'écria : « Yes ! » tout en serrant le poing. Il se reprit immédiatement. Il ne comprit pas sa réaction, me disant seulement qu'il avait l'impression de m'avoir amené à cette décision de conversion, mais sans avoir rien fait de particulier en ce sens, et, « pire », sans en avoir eu consciemment l'objectif et totalement à contresens de toute son éducation et de sa formation de psychologue et de coach…
Ce Jésus sur la croix m'interrogeait. Je me demandais s'il avait réellement existé et pour quelles raisons il était mort sur la croix. Je savais que les juifs avaient fait cela, mais pourquoi ? Qu'avait-il fait de mal ? Alors je me mis à passer des heures sur internet à chercher des réponses, et même des nuits entières, au détriment de mon travail. Je répondais à mon mari qui me le reprochait, que c'était vital pour moi, que j'avais besoin de savoir d'où je venais.
À Pâques 2012, je découvris sur internet que Jésus avait bien existé. Le soir du dimanche 27 mai 2012, je lus sur le site d'un ancien rabbin converti qui, voulant convertir les juifs [Note de la porteuse de la communauté : il s'agit de Paul Drach, voir notes en bas de publication], avait traduit de l'hébreu le texte d'Isaïe 53. En lisant sa traduction, je me mis à pleurer et je compris que Jésus était mort par amour pour nous. Je courus voir mon mari pour lui dire : « Te rends tu comptes de ce que Jésus a fait par amour pour nous, tout ce qu'il a souffert sans mot dire ? Il n'y a que Dieu qui peut aimer les hommes à ce point. Alors Jésus est Dieu ! ». Mon mari me dit en pleurant : « Je n'avais jamais entendu quelqu'un dire ces choses de cette façon ». Je répondis à mon mari : « Alors moi aussi je veux donner ma vie à Jésus comme Lui l'a donné pour sauver nos âmes. Je veux me faire baptiser ». Au moment où je prononçais ces paroles, je pris conscience du véritable danger que j'allais faire courir à mon mari et à notre fille, vis-à-vis de l'islam.
Le lundi 28 mai 2012, à mon réveil, la première chose que je fis, c'était d'aller devant la baie vitrée qui donnait sur le jardin, afin de prier Dieu le Père. Voici ma prière : « Mon Dieu, me voilà revenue vers vous. Je vous demande pardon de m'être éloignée de vous. Je crois que Jésus est Votre Fils et qu'Il est né de la Vierge Marie. J'ai pris la décision d'être baptisée catholique et je voudrais savoir si ce chemin est le chemin qui mène à Vous et qui Vous plaise. Si ce chemin ne mène pas à Vous ou ne Vous plaît pas, éloignez-moi dès maintenant de ce chemin et montrez-moi celui qui mène à Vous et qui Vous plaise. Mais si c'est bien celui-ci, alors conduisez-moi jusqu'au baptême sans encombre ». À ce moment précis m'apparurent Jésus et Sainte Marie ; côte à côte.
Je reconnus cette belle dame présente lors de l'accouchement de notre fille aînée et sa voix me rappela cette femme qui m'avait tenu la main quand j'avais 10 ans et qui m'avait parlé. Je reconnus également le Dieu homme que j'avais vu un soir, à 10 ans également, comme dit précédemment.
Mon chemin jusqu'au baptême fut un grand combat. Je ne peux vous raconter dans le détail comment le démon se manifestait pour m'empêcher d'aller jusqu'au baptême.
La Sainte Vierge et Jésus me donnaient des messages pendant la messe pour que mon mari revienne à l'Église. Notre Seigneur lui fit dire par mon biais une première fois : « Jésus veut que tu reviennes à la Maison du Père ». Sans succès. Quelque temps plus tard, le second message fut : « Jésus te demande de te laisser remplir par l'Amour du Père ». La réponse de mon mari fut : « Et je fais cela comment, me remplir de l'Amour du Père ? ». Je lui répondis : « Le Seigneur m'a donné un message mais pas le mode d'emploi qui va avec ! ». Puis, assez rapidement, la troisième demande lui fut transmise : « Jésus te demande de revenir à la messe ». Mon mari y répondit de la sorte : « Comment y retourner si je ne suis pas sûr d'avoir la Foi ? ». Je lui répondis : « Demande à Jésus qu'Il te donne la Foi ! ». La quatrième fois, pour l'Assomption, ce fut Sainte Marie qui me dit : « Tu diras à ton mari que cette fois c'est moi qui le lui demande ». Mon mari me raconta qu'en entendant cela, il ressentit qu'il était l'obligé de la Sainte Vierge. Puisque Notre Dame lui demandait de venir à la messe, il s'était mis « au garde à vous ». Il ne pouvait que lui obéir. Le dimanche suivant, jour de la Saint Christophe, il était avec moi et notre bébé à la messe et pleura beaucoup au moment de l'eucharistie : « C'est comme si j'étais de retour à la maison », me dira-t-il après la messe.
En ce qui concerne mon catéchuménat, j'étais accompagnée par un groupe de laïcs et un prêtre. Puis le Seigneur mit alors sur mon chemin l'abbé R... d'A..., qui m'accompagna jusqu'à mon baptême et qui est aujourd'hui mon directeur spirituel.
Je ne peux tout raconter, car c'est un livre que je dois écrire, livre pour lequel je vis un grand combat. Il y a tellement de choses à dire.
Ce que je peux ajouter, c'est que le jour de mon baptême, à Pâques 2014, je fus dans une très grande joie. Et les paroles qui étaient présentes en moi disaient : « Mon âme exalte le Seigneur, en Dieu exulte mon esprit ».
Témoignage reçu par la créatrice de ce site internet www.jesus-sauve
Nadia s'est emparée du Royaume
Nadia, musulmane, a tout quitté ou presque pour suivre le Christ. Jean-Paul, son mari, est resté à ses côtés. Elle a écrit un livre : Et elle s'est emparée du Royaume
Lire plus de conversions de musulmans au christianisme :
Les juifs devenus chrétiens
Le rabbin David Drach devenu Paul Drach
Né David Drach, devenu Paul-Louis-Bernard Drach est un ancien rabbin français d'origine alsacienne converti au catholicisme. Il fut bibliothécaire de la Congrégation pour la propagation de la foi au Vatican, à Rome. Il a écrit plusieurs ouvrages dont deux qui démontrent avec précision que Jésus est le Messie, téléchargeables ci-dessous.
Télécharger la première lettre
Télécharger la deuxième lettre
Simone Weil : « Le Christ lui-même est descendu et m'a prise »
Simone Weil est née en 1909 à Paris, dans une famille d'origine juive alsacienne. Elle ne reçoit aucune éducation religieuse mais amour compatissant pour les malheureux. Devenue philosophe, elle est militante syndicale, proche des milieux trotskystes. En 1935, 1937 et 1938, elle vit trois expériences mystiques qui la conduisent à devenir chrétienne catholique, affirmant : « Le Christ lui-même est descendu et m'a prise ».
Marcel Dassault, le génie de l'aéronautique
Né Marcel Ferdinand Bloch, ce juif devient un génie de l'aéronautique. En 1949, il décide de changer de patronyme pour Dassault, avant de se convertir au catholicisme un an plus tard. Il devient un homme politique influent et continuera à aider Israël et Shimon Peres malgré sa conversion.
Édith Stein, devenue carmélite et morte à Auschwitz
Édith Stein, juive et philosophe allemande, est la première femme à avoir reçu le titre docteur en philosophie. Elle se convertit au catholicisme en 1922, bouleversée par une rencontre avec l'amour surnaturel de Jésus . Elle devient religieuse au Carmel en 1933, prenant le nom de Sœur Thérèse-Bénédicte de la Croix. Arrêtée par la SS, elle est déportée et meurt « pour son peuple » à Auschwitz.
Véronique Levy : « Je suis folle amoureuse de Dieu »
Baptême de Véronique Levy
« Quand j’étais petite, je tournais en rond sur moi-même jusqu’à tomber par terre en répétant à haute voix : « Je t’aime à la folie, la vie ! » Aujourd’hui, depuis ma conversion et mon baptême à l’église Saint-Gervais-Saint-Protais (Paris), confiée aux Fraternités monastiques de Jérusalem, je dis que je suis folle amoureuse de Dieu. Et c’est un amour humain qui m’y a conduit. Il s’appelait Indar. Il était au catéchuménat et se préparait au baptême. Son visage ressemblait à celui du Christ. Tout son corps, toute sa personne, avec sa fragilité et ses blessures, étaient traversés par le désir de Dieu. Il y avait en lui cette ouverture à l’invisible, comme une fenêtre qui laisse passer la lumière et la grâce de Dieu.
Pendant longtemps, j’ai mené une vie désordonnée. Je traînais dans les bars, j’avais beaucoup d’aventures... À travers chacune d’entre elles, je cherchais un amour plus grand. J’avais soif d’un absolu qu’aucun homme ne pouvait combler.
Depuis mon baptême en 2012, tout mon désir est tendu vers Dieu. Il a saisi mon âme, mon cœur et mon corps. En visitant ma féminité blessée, il m’offre une liberté que je n’avais pas connue jusque-là. Liberté par rapport à l’icône intraitable de la femme belle, désirable, efficace, lisse, froide à laquelle j’essayais de me conformer. Libre comme Abraham, qui part vers l’inconnu de Dieu ; comme Marie, qui n’a jamais été soumise à aucun homme sinon à Dieu seul. Aujourd’hui, je ne me positionne plus en fonction du regard des autres. Je n’ai pas peur de passer pour une enfiévrée quand je parle du Seigneur autour de moi.
Je souffre parfois de ne pas pouvoir Le saisir. Je suis humaine. J’ai besoin d’être enlacée, embrassée. Je désire rester greffée sur Lui afin qu’Il se déploie en moi. Je veux Lui rester fidèle et que rien ne nous sépare. Durant l’adoration eucharistique, je me sens comme un petit chat qui vient se blottir contre son Seigneur. Je veux rester là sans bouger et ronronner. Mais lui me demande souvent de me lever et d’aller témoigner. »
Shelley K. : « Qu'allais-je faire de ma vie ? »
« J’ai grandi dans une famille juive aisée aux États-Unis. Mais à 17 ans, j’ai pris conscience que ma vie ne répondait pas à mes aspirations profondes. Je me posais des questions sur le sens de la vie. À cette époque, j’ai remarqué un profond changement chez ma sœur aînée. Jusque-là, elle avait mené une vie frivole comme la mienne. Elle expliquait son changement par sa découverte personnelle de Jésus, et disait que c’était le Messie. Cela me semblait stupide. Elle possédait une bonne éducation juive et avait mieux à faire que de prêter attention à ces superstitions…
Et voilà que ma mère et ma plus jeune sœur se sont mises à leur tour à lire le Nouveau Testament et à me parler de Jésus. Tout cela me paraissait horrible. J’ai décidé de combattre la Bible, mais il fallait que je la lise. En parcourant les pages qui parlent de Jésus, je m’interrogeai sur sa personne. Depuis très longtemps mon cœur s’était endurci contre Jésus mais je voulais savoir s’il était le Messie et si je pouvais avoir une relation personnelle avec Dieu par lui. J’ai donc prié Dieu, lui demandant de me révéler la vérité. Il m’a répondu. J’ai cru en Jésus, et son amour est entré dans ma vie. Le sentiment de vide de mon cœur a disparu, et maintenant la vie m’apparaît comme une aventure merveilleuse.
Je suis chrétienne à présent. Plus une seule fois je n’ai ressenti l’ancien vide. Pourtant j’ai perdu un certain nombre d’amies. J’ai des idéaux et des objectifs que je ne possédais pas auparavant : c’est Jésus qui me les a communiqués. »
Rosa Warmer : ils priaient pour sa conversion
Née hongroise dans une famille juive, Rosa Warmer découvre l’Évangile en 1938 à Budapest. Voici son récit, après une conversation animée avec un chrétien.
« Un événement étrange survint cette nuit-là. En étudiant les Écritures, j’assistai à un changement en moi. Je n’étais plus aussi sceptique, je ne cherchais plus de ”preuves“ pour démentir les affirmations surprenantes de mon interlocuteur sur les prophéties. Je ne croyais plus en savoir aussi long que lui : je voulais apprendre. J’étais loin de me douter que pendant ce temps, un groupe nombreux, réuni dans la grande salle de réunions chrétiennes, priait pour cette jeune Juive vêtue de noir qui posait des questions sur la Bible des heures durant. Je lus de longs chapitres. De l’Ancien Testament, je passai au Nouveau, et vice-versa. De plus en plus émue, j’étais comme poussée à chercher la vérité. Le cœur enfiévré, je lus et relus le chapitre 53 d’Ésaïe et le Psaume 22.
J’avais 29 ans. Ma vie spirituelle n’avait été jusque-là que confusion. Pour la première fois, un rayon de lumière grandissait à mesure que je m’en approchais. La clarté qu’il jetait sur ma vie passée était trop intense ! C’est à ce moment même que ma conscience s’éveilla à la grâce de Dieu. Je savais maintenant ce qu’il fallait faire. Je remis mon cœur tout entier au Messie, le Seigneur Jésus Christ. »
Transformée par la rencontre du Messie, elle consacrera sa vie à témoigner auprès des Juifs. Inébranlable malgré les dangers, elle sera un témoin du Christ jusque dans les camps de concentration.
De nombreuses autres célébrités juives se sont converties à la foi chrétienne : Henri Bergson, David Rcardo, Benjamen Disraeli, Stéphane Bern, Shia LaBeaouf...
Vidéos pour anglophones : ces juifs qui ont rencontré Yeshua, l'ont reçu comme Hamashia (Messie) et sont devenus juifs messianiques
Président de la synagogue, il est tombé dans l'alcoolisme, son père décède... au fond du gouffre, il décide de passer sous le premier camion venu...
Il pensait que Jésus était Italien... ignorant que Jésus était juif. Il pensait aussi que le Nouveau Testament était un mode d'emploi pour persécuter les juifs car écrit par des personnes tuant les juifs...
Émigré aux États-Unis, cet Iranien juif se posait des questions sur Jésus, de plus en plus convaincu qu'il s'agit du Messie. Lorsque son fils a un grave accident, il supplie Jésus de sauver son Fils.
« Comment se fait-il que personne ne nous ait rien dit ? C'est le secret le plus ignoré du peuple juif ! » Le psy a découvert Jésus !